<H1> Bio </H1> |
<H3> TASSILI </H3> |
<H3> Mais avant d’en arriver là… </H3> |
<H4> Cette chanson est extraite du dernier album de François Budet, paru le 7 Octobre 2016. Que d’années parcourues jusqu’à ces dernières créations ! </H4> |
<H5> À 6 ans, je joue du pipeau et de l’harmonica à la cime des arbres tout en surveillant les vaches de la ferme familiale. À 12 ans, je suis soprano dans la chorale du collège. À 18 ans, je chante dans un groupe du genre « Les Frères Jacques », puis dans un quatuor vocal.J’ai 22 ans quand je touche pour la première fois une guitare (ça s’entend !). Puis je vais, durant 8 mois, faire un tour en Algérie en même temps que Eddy Mitchel dont j’assure, le temps d’un concert, la sécurité, sous l’uniforme de la Police Militaire.En 1965 on peut me voir en solo sur scène où j’interprète mes premières chansons. Alors que je suis O.S. chez Kodak à Vincennes où je fabrique de la pellicule photo au kilomètre, je trouve le temps de composer « Loguivy de la mer »En 1967, je me retrouve animateur culturel. C’est à cette accasion que je rencontre Yves Simon, Henri Dès, Glenmor et plein d’autres… Et je chante toujours en amateur. Je suis tour à tour accompagnateur de voyage, animateur de ciné-club, projectionniste et balayeur de «Mille club». </H5> |
<H5> En 1968 j’enregistre un premier 45 tours et en 1973, un album 30 cm, avec Léon Guillou </H5> |
<H5> En 1976, après avoir été viré de mon boulot d’agent d’aménagement rural dans le Mené (région des Côtes d’Armor), je décide de n’avoir qu’un seul métier, auteur-compositeur-interprète. </H5> |
<H5> J’entreprends alors de former un groupe. Certains musiciens, alors lycéens, jouent encore avec moi. </H5> |
<H5> J’enregistre régulièrement mes albums, 11 au total, et le tout récent « 7 Nouvelles chansons« , sorti en 2016 disponible ICI </H5> |
<H5> Après être parti de Plaine-Haute, où je suis né, et avoir vécu à St-Brieuc, Paris, Rennes, St-Glen (22) et Plaintel (22), je m’en reviens au village natal en 1981. C’est mon port d’attache où jaime me ressourcer au retour de mes tournées qui m’emmènent partout en France mais aussi aux USA, au Québec, en Suisse, en Italie, en Belgique, en Allemagne, dans les pubs de Cornouaille Britannique ou d’Irlande. Mais pas à Monaco ! </H5> |
<H5> Dans un pub des Iles d’Aran (Irlande), un soir, je rencontre Corto Maltese avec qui j’embarque le lendemain pour l’Île de Santorin en mer Egée.
Orpailleur dans le Yukon, je croise Jack London qui m’achemine avec ses chiens (dont Croc Blanc) et son traîneau, au bord du Lac St-Jean au Québec chez mon copain Michel Lambert, connu à la Sorbonne. À Chicoutimi, dans le restaurant de Michel, je fais la connaissance de Georges Dor, chanteur québécois, qui me confie sa célèbre chanson «La Manic». Depuis, je la chante toujours. J’en rapporte également la fameuse recette de «gigue de caribou en croûte» dont je régale régulièrement mes potes. </H5> |
<H5> J’ai mes secrets. Je ne vous dirai rien de Svoboda, la fille du car ferry, cette exilée polonaise qui vint à ma rencontre un soir d’hiver, dans les années 80, sur les quais de Roscoff… Vous n’en saurez pas plus du manoir des Combrailles et de sa belle hôtesse qui m’avait hébergé trois jours et trois nuitées « en février dernier qu’il avait tant neigé ». </H5> |
<H5> Vous auriez pu me rencontrer dans le Tassili, entre Djanet et Issendilen, en compagnie de mes amis touaregs ou encore à Palmyre, Alep ou Apamia, en Syrie, cheminant sur les dalles de marbre où jadis Cléopâtre, Tamerlan et bien d’autres y posèrent leurs sandales.
Et puis peut-être un jour vous me verrez sur un cheval mongol, l’urga dans l’étrier, au bord du lac Baïkal. </H5> |
<H5> Vous me verrez sans doute, au retour d’une errance, venir poser mon sac chez mon pote Sullivan, celui qui tient bistrot dans un port quelque part sur la côte nord. </H5> |
<H5> Vous me verrez sûrement avec mon alezan chevauchant en silence sur les rives ombragées dans les Chaos du Gouët. C’est tout près de chez moi…
Et demain sur la route, je m’en irai chanter.François. </H5> |
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